Dans les colonnes du carnet mondain bien parisien, il est question du Puythumé sans que le nom de Saint Martin Lars soit cité, comme si c'était évident. Le nom des gens"reconnus aux derniers laisser-courre"ne laissent planer aucun doute
sur le fait qu'il s'agit bien du Puythumé de Saint Martin Lars.
Voilà donc une petite anecdote plutôt amusante qui nous apprend qu'en 1913,on pouvait parler de ce petit territoire comme d'un lieu très "tendance" comme on dit maintenant.

Le Figaro no 39 02/08/1913